« Il n’y aura jamais de victoire comme lors d’un combat, mais les choses avancent et les choses bougent », a déclaré le père Auguste. Ce lundi matin, ils étaient près d’une quarantaine à s’être rassemblés au monument du 2 juillet 1966. Date du premier tir nommé Aldébaran. Un rassemblement qui a donné lieu à une marche, ce lundi, vers Paea, soit 20 kilomètres.
Jusqu’au 2 juillet, les associations 193 et Moruroa e Tatou vont effectuer un tour de l’île en faisant 20 kilomètres chaque jour. Et tous les soirs, les pèlerins contre le nucléaire convient la population à des réunions publiques « pour que la population connaisse son histoire, et pour expliquer les difficultés rencontrées dans le domaine des maladies qui proviennent des essais », a rappelé frère Maxime Chan, de l’association 193 dans notre journal du dimanche soir.
De son côté, Père Auguste souhaite que les promesses du président Hollande lors de sa venue sur le fenua se concrétisent enfin : « On réclame toujours le fait nucléaire tel qu’il doit l’être. François Hollande a apporté des annonces, mais jusqu’à maintenant il n’y a rien de concret. Donc on veut que toute la Polynésie soit considérée comme il se doit. »
Une marche qui s’étalera sur 5 jours pour se terminer à Mahina.
Jusqu’au 2 juillet, les associations 193 et Moruroa e Tatou vont effectuer un tour de l’île en faisant 20 kilomètres chaque jour. Et tous les soirs, les pèlerins contre le nucléaire convient la population à des réunions publiques « pour que la population connaisse son histoire, et pour expliquer les difficultés rencontrées dans le domaine des maladies qui proviennent des essais », a rappelé frère Maxime Chan, de l’association 193 dans notre journal du dimanche soir.
De son côté, Père Auguste souhaite que les promesses du président Hollande lors de sa venue sur le fenua se concrétisent enfin : « On réclame toujours le fait nucléaire tel qu’il doit l’être. François Hollande a apporté des annonces, mais jusqu’à maintenant il n’y a rien de concret. Donc on veut que toute la Polynésie soit considérée comme il se doit. »
Une marche qui s’étalera sur 5 jours pour se terminer à Mahina.
Rédaction Web (Interview Esther Parau)