« Le gouvernement du pays formule le vœu de l’institution d’une citoyenneté Ma’ohi entraînant des conséquences juridiques pour celui qui l’acquiert, citoyenneté consacrée et sacralisée dans la Constitution », est-il écrit dans l’article 1er.
Le député Tematai Le Gayic porte ce projet depuis plusieurs semaines. Il a organisé il y a peu un colloque sur ce sujet et a lancé une pétition pour que le gouvernement central accède à cette demande, également soutenue par la majorité à l’Assemblée.