Les murs du centre de détention de Papeari sortent de terre. Le comité de suivi local s’est réuni ce jeudi 26 juin sur place pour faire un point sur l’avancée des travaux, pratiquement un an après le début du chantier. Cette visite guidée a également permis de répondre aux interrogations des associations qui s’étaient opposées au projet.
Le futur centre de détention prend forme sur la colline de Papeari. Aucun retard sur le gros œuvre n’est constaté. Ce centre pénitentiaire de 24 000m2 comptera 410 places. La visite de chantier permet au comité de suivi local de mieux visualiser l’ensemble de la structure, comme le précise le directeur d’opération Alain Goulay. Selon le collectif Vaiari nui i te Mata ara, les promesses d’embauche des jeunes de la commune n’ont pas été respectées.
Sur ce point, les entreprises se défendent. Le chantier emploi actuellement 150 ouvriers. 200 sont prévus l’an prochain. Et sur toute la durée du chantier 30 000 heures d’insertion seront effectuées.
Le volet environnemental n’est pas non plus écarté. Selon le cahier des charges, les bâtiments ne doivent pas aller au-delà de deux niveaux. Ils seront à peine visibles de la route. La prison est construite au cœur de la végétation. Une station d’épuration permet aussi d’éviter le rejet des eaux usées dans le lagon, comme le précise Yohann Ohlund.
A terme, 250 emplois seront créés à l’ouverture de la prison, prévue au 1er trimestre 2017.
Le futur centre de détention prend forme sur la colline de Papeari. Aucun retard sur le gros œuvre n’est constaté. Ce centre pénitentiaire de 24 000m2 comptera 410 places. La visite de chantier permet au comité de suivi local de mieux visualiser l’ensemble de la structure, comme le précise le directeur d’opération Alain Goulay. Selon le collectif Vaiari nui i te Mata ara, les promesses d’embauche des jeunes de la commune n’ont pas été respectées.
Sur ce point, les entreprises se défendent. Le chantier emploi actuellement 150 ouvriers. 200 sont prévus l’an prochain. Et sur toute la durée du chantier 30 000 heures d’insertion seront effectuées.
Le volet environnemental n’est pas non plus écarté. Selon le cahier des charges, les bâtiments ne doivent pas aller au-delà de deux niveaux. Ils seront à peine visibles de la route. La prison est construite au cœur de la végétation. Une station d’épuration permet aussi d’éviter le rejet des eaux usées dans le lagon, comme le précise Yohann Ohlund.
A terme, 250 emplois seront créés à l’ouverture de la prison, prévue au 1er trimestre 2017.
Retrouvez tous les détails de la future prison en pièce jointe.
