Il proteste contre le licenciement d’un autre salarié, un brancardier, qui est aussi délégué syndical de O oe to oe rima.
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Selon la direction, ce brancardier serait sur le point d’être licencié pour avoir injurié à deux reprise un autre salarié. Mais comme c’est le cas pour tout salarié protégé, c’est l’inspecteur du travail qui prendra la décision finale.
O oe to oe rima affirme que la clinique veut licencier ce brancardier car il refuse de voir évoluer sa fiche de poste.
A tia i mua, le syndicat majoritaire à la clinique Paofai, ne s’est pas joint au mouvement de grève. Mais ce syndicat dénonce aussi les conditions de travail et le harcèlement qu’il dit constater à la clinique. Cependant, A tia i mua affirme « privilégier le dialogue avec les autorités sanitaires, au moins jusqu’à la nomination du futur ministre de la santé ».