Le site Techno-science a publié un article intitulé « Frontières de l’UE : Rapa Iti, de l’Europe au bout du monde ». Un article bien peu scientifique qui évoque l’éloignement de territoires ultra-marins européens.
Son auteur parle « des 50 heures pour y accéder via l’un des rares bateaux qui fait le trajet depuis Tahiti » sans préciser que l’on peut s’y rendre depuis les autres îles des Australes beaucoup plus proches. Le thème principal est à peine développé hormis avec des phrases caricaturales telles que « ce lieu paradisiaque fait partie de l’Union européenne ».
Un thème intéressant mais le sujet est finalement juste effleuré et beaucoup d’erreurs ou de caricatures y sont glissées, comme « les enfants qui courent après les chèvres » ou « qu’il est possible de regarder le coucher de soleil sur l’île de Moorea depuis le café de l’Université de la Polynésie française », comme s’il ne se voyait que depuis cet endroit. Si le thème mérite d’être abordé, il est traité de manière extrêmement approximative.
Son auteur parle « des 50 heures pour y accéder via l’un des rares bateaux qui fait le trajet depuis Tahiti » sans préciser que l’on peut s’y rendre depuis les autres îles des Australes beaucoup plus proches. Le thème principal est à peine développé hormis avec des phrases caricaturales telles que « ce lieu paradisiaque fait partie de l’Union européenne ».
Un thème intéressant mais le sujet est finalement juste effleuré et beaucoup d’erreurs ou de caricatures y sont glissées, comme « les enfants qui courent après les chèvres » ou « qu’il est possible de regarder le coucher de soleil sur l’île de Moorea depuis le café de l’Université de la Polynésie française », comme s’il ne se voyait que depuis cet endroit. Si le thème mérite d’être abordé, il est traité de manière extrêmement approximative.