Ambiance sportive et ludique dans le grand bassin de Tipaerui samedi. La 14e édition des 6 heures de Papeete s’est déroulée de 11 à 17 heures.
Le défi était ouvert à tous, du nageur débutant au sportif confirmé : il fallait seulement être capable de nager au moins 100 mètres en relais par équipes. Les plus téméraires ont tenté de nager sans arrêt pendant les 6 heures.
Comme chaque année, les différents clubs de natation et de triathlon ont participé pour apporter leur contribution à cet événement caritatif.
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Nouveauté de cette édition : une nouvelle catégorie en lice. « On a des jeunes gens des quartiers de Papeete qui font partie des programmes qu’on a mis en place que ce soit le EA Waves y Papeete ou les actions de proximité, qui participent aussi cette année à l’édition », explique Mata Ganahoa, directrice de la Jeunesse, des Sports et de la cohésion sociale à la mairie de Papeete
Au bout des 6 heures, 350 km au total ont été parcourus. Sarah Pothier du club I Mua a réalisé la meilleure performance en individuel avec 10,7km.
Timo Ragihei, âgée de 9 ans seulement a parcouru quant à elle 9,5 km.
Un défi rameur à Raiatea
A Raiatea, une salle de crossfit contribue au Téléthon. elle organisait vendredi un défi rameur.
Avant même le lever du jour, les sportifs ont répondu présent tenter de relever le défi lancé par le coach en faveur du Téléthon : ramer de 5 à 18 heures non stop pour réaliser le maximum de Kilomètres.
Les participants devaient faire un don avant de prendre place sur le rameur. Ils devaient effectuer au minimum 1000 mètres. Une exigence : la machine ne devaient surtout pas s’arrêter au risque de remettre le compteur à zéro… A la fin de la journée, 138 kilomètres ont été parcourus. 52 personnes ont participé à ce défi. « L’essentiel c’était de participer. Il y a eu des personnes âgées, des jeunes qui se sont relayés depuis ce matin. Le matin c’est l’heure de pointe. Il y avait beaucoup de personnes, pour se relayer c’était cool. Mais vers midi jusqu’à 14 heures, on était 3 à se relayer pendant 3 heures », raconte Heitini Teiho, coach.