Ce foyer, s’il peut faire, de temps à autres, office de salle des fêtes, représente bien plus que cela pour les étudiants polynésiens, comme nous l’explique Rebecca Tepa, présidente de l’AEPF Montpellier. « C’est notre petit cocon, notre foyer. C’est le lieu où l’on se réunit tous. »
A Montpellier, on compte plus de 70 000 étudiants dont environ 400 Polynésiens. Cinquante d’entre eux sont membres actifs de l’association des étudiants de Polynésie (AEPF) française, un véritable clan. Ce que confirme Carole Mindeguia, étudiante en pâtisserie « C’est une famille. Des fois nous avons des petits soucis perso et en étant ensemble, on oublie un peu ceux-ci. »
Des soucis qui peuvent s’accumuler dès l’arrivée, alors la communauté est là pour aider les nouveaux venus. « On les aide à trouver un appartement, ouvrir un compte bancaire etc.. On est là pour les aider » précise Rebecca Tepa.
A Montpellier, on compte plus de 70 000 étudiants dont environ 400 Polynésiens. Cinquante d’entre eux sont membres actifs de l’association des étudiants de Polynésie (AEPF) française, un véritable clan. Ce que confirme Carole Mindeguia, étudiante en pâtisserie « C’est une famille. Des fois nous avons des petits soucis perso et en étant ensemble, on oublie un peu ceux-ci. »
Des soucis qui peuvent s’accumuler dès l’arrivée, alors la communauté est là pour aider les nouveaux venus. « On les aide à trouver un appartement, ouvrir un compte bancaire etc.. On est là pour les aider » précise Rebecca Tepa.
C’est la ville de Montpellier qui a donné au Territoire ce terrain dont les frais sont à la charge de l’Association près de 500 000 Fcfp par an. Il faut donc trouver des financements. Pour cela, des cours de danse et des ventes de plats sont organisés régulièrement. Outre les membres de l’AEPF, d’autres étudiants ou habitants des quartiers voisins viennent régulièrement au foyer, véritable vitrine de l’accueil polynésien à Montpellier.
Rédaction Web avec Eric Dupuy