Christelle Le Hartel, ministre de l’Education, dans sa présentation du salon à Miss Tahiti, mise sur la filière agricole, un métier d’avenir pour le fenua. « Vous avez déjà le lycée agricole qui est situé à Opunohu. Nous avons un autre lycée agricole à la Presqu’île de Tahiti. C’est un bon débouché pour nos enfants. D’autant plus que nos enfants polynésiens aiment leur terre. »
La ministre est également fière de la présence de Miss France, digne représentante. « Toutes nos vahine qui ont représenté la Polynésie ici en France métropolitaine, parce que nous avons eu également des dauphines à Miss France, elles ont fait du bon boulot, elles ont représenté la Polynésie, pas seulement économiquement mais beaucoup humainement aussi. »
C’est d’ailleurs avec étonnement que Vaimalama goute au rhum de Tahiti, en compétition pour le concours agricole. « Elle ne pensait pas que c’était aussi délicieux« , se réjouit Rony Moux de Tamure rhum.
Miss France est aussi l’égérie du monoï, l’un des secrets de beauté des Tahitiennes. « Ça va nous permettre de faire connaître le monoï et tous les produits de la Polynésie. C’est une personne qui a beaucoup de qualités et de valeurs et les valeurs qu’elle a sont les mêmes qu’on met dans nos produits », déclare Jean-Claude Giraud du Comptoir des Monoï.
Le Salon de l’agriculture se déroule jusqu’au 3 mars à Paris.