Désormais, avec l’amendement de Lana Tetuanui, si les demandeurs ont été exposés à une dose de radiation inférieure ou égale à 1 millisievert par an, dose considérée comme acceptable par la Santé publique, le Civen, organisme en charge d’étudier les dossiers des demandeurs, pourrait débouter les malades de leur demande d’indemnisation.
Pour l’association 193, c’est un grand pas en arrière dans le dossier des indemnisations des victimes du nucléaire, car cet amendement, remettrait en question la suppression de risque négligeable et représenterait un risque pour l’indemnisation des victimes. On écoute Léna Normand, vice présidente de l’association 193, interviewée par Tauhiti Tauniua Mu San.