Vous êtes en Polynésie depuis dimanche dernier. Chaque fois que vous rentrez, c’est en toute discrétion…
« Oui, parce que je rentre voir ma famille. Tout le monde vit ici, je suis la seule qui vit à Paris, donc j’ai besoin de les retrouver, j’ai besoin de me ressourcer. J’ai besoin de ne rien faire et de voir pas grand monde. Ceci dit je suis ravie de vous voir (rires), mais j’aime bien rester chez ma mère à Moorea. »
Il y a quelques jours, vous avez perdu « un titre », vous n’êtes plus la dernière Miss Tahiti à être devenue Miss France…
« Oui, enfin je l’ai perdu ! (rires) Non, en fait je ne l’ai pas perdu, parce que c’est pour toujours, mais enfin une Polynésienne qui redevient Miss France ! Quelle fierté ! Quelle joie ! »
Comment avez-vous vécu le sacre de Vaimalama ?
« J’étais très contente, j’étais très heureuse. Je ne m’y attendais pas du tout, honnêtement, parce que je n’avais pas suivi toutes les préparations et tout ce qui se passait parce que j’étais en concert, j’étais en tournée. Bref ! Mais c’était une très belle surprise et, enfin, 20 ans après, une autre Polynésienne va pouvoir parler de la Polynésie à travers la France, à travers le monde. »
Ça vous a rendu un peu nostalgique ?
« Non, pas du tout. Au contraire, j’ai l’impression d’être une vieille. Je suis une vieille Miss France. Mais il y avait quelque chose d’assez extraordinaire, parce que les Miss Tahiti, maintenant, sont très redoutées au concours de Miss France. Et je pense que Vaimalama doit sa victoire à elle-même et aux gens qui l’ont accompagnée, mais elle le doit aussi aux précédentes Miss Tahiti qui se sont très bien classées sur ce podium, parce qu’elles ont contribué justement à ce que la candidate de Tahiti devienne redoutable. On la regarde, on s’attache à son histoire, on se dit que cette année elle va encore se classer. Est-ce qu’elle va gagner ? Être première, deuxième, troisième ? C’est une très belle aventure et je lui souhaite beaucoup de bonheur. »
« Oui, parce que je rentre voir ma famille. Tout le monde vit ici, je suis la seule qui vit à Paris, donc j’ai besoin de les retrouver, j’ai besoin de me ressourcer. J’ai besoin de ne rien faire et de voir pas grand monde. Ceci dit je suis ravie de vous voir (rires), mais j’aime bien rester chez ma mère à Moorea. »
Il y a quelques jours, vous avez perdu « un titre », vous n’êtes plus la dernière Miss Tahiti à être devenue Miss France…
« Oui, enfin je l’ai perdu ! (rires) Non, en fait je ne l’ai pas perdu, parce que c’est pour toujours, mais enfin une Polynésienne qui redevient Miss France ! Quelle fierté ! Quelle joie ! »
Comment avez-vous vécu le sacre de Vaimalama ?
« J’étais très contente, j’étais très heureuse. Je ne m’y attendais pas du tout, honnêtement, parce que je n’avais pas suivi toutes les préparations et tout ce qui se passait parce que j’étais en concert, j’étais en tournée. Bref ! Mais c’était une très belle surprise et, enfin, 20 ans après, une autre Polynésienne va pouvoir parler de la Polynésie à travers la France, à travers le monde. »
Ça vous a rendu un peu nostalgique ?
« Non, pas du tout. Au contraire, j’ai l’impression d’être une vieille. Je suis une vieille Miss France. Mais il y avait quelque chose d’assez extraordinaire, parce que les Miss Tahiti, maintenant, sont très redoutées au concours de Miss France. Et je pense que Vaimalama doit sa victoire à elle-même et aux gens qui l’ont accompagnée, mais elle le doit aussi aux précédentes Miss Tahiti qui se sont très bien classées sur ce podium, parce qu’elles ont contribué justement à ce que la candidate de Tahiti devienne redoutable. On la regarde, on s’attache à son histoire, on se dit que cette année elle va encore se classer. Est-ce qu’elle va gagner ? Être première, deuxième, troisième ? C’est une très belle aventure et je lui souhaite beaucoup de bonheur. »
Comment vous la trouvez, Vaimalama, personnellement ?
« Je ne la connais pas. J’aurais l’occasion de la rencontrer j’imagine plusieurs fois à Paris puisqu’on va habiter pas très loin du coup. Mais elle est très Polynésienne, très détachée, très naturelle, très spontanée. Elle a l’air d’avoir la tête sur les épaules aussi et je pense qu’elle sera une très belle Miss France. »
On sait que devenir Miss France est une chance mais c’est aussi beaucoup de difficultés à traverser, surtout quand on est jeune et qu’on ne connaît pas bien la France. La presse people déballe au grand jour votre présumée vie privée. On peut rencontrer des personnes mal intentionnées… Quels conseils lui adresseriez-vous pour réussir son année de règne ?
« C’est vrai que c’est très particulier parce qu’elle bascule dans un monde où elle ne maîtrise plus son image, elle ne maîtrise plus ce qu’on va dire d’elle et c’est à double tranchant. Donc il faut toujours être méfiante et sur la défensive, mais sans perdre son naturel, son charme et sa spontanéité parce que c’est ce qui va faire, évidemment, une de ses qualités majeures. Elle est différente des autres, elle vient de Tahiti, elle a une mentalité qui n’est pas la même. Ça, c’est une force incroyable. Mais, elle est un personnage public maintenant, qui sera à la merci de toute la presse, de tous les commentaires sympas ou pas sympas, et ça, il faut faire attention, attention à ce qu’on dit, attention à ce qu’on fait. Je ne veux pas être méfiante et la jouer à l’ancienne en disant qu’il faut toujours se méfier, mais il faut toujours avoir un petit œil, parce que tout le monde n’est pas ami avec tout le monde. »
Vaimalama a beaucoup de points communs avec vous, elle est magnifique, elle est Polynésienne et elle chante aussi ! Vous pensez que, comme vous, elle pourrait percer dans la chanson ?
« Elle a des chances dans tous les milieux. Elle vient de commencer une carrière de personnalité publique et il faut que pendant cette année, elle se fasse un réseau. C’est la chose la plus importante. C’est-à-dire qu’un réseau, dans le domaine dans lequel elle veut aller, mais elle trouvera peut-être un autre domaine où elle s’épanouira plus. Si c’est dans la chanson, je lui souhaite évidemment et c’est le moment de prendre contact, c’est le moment de rencontrer les bonnes personnes. Il y a tellement de choses qui vont s’ouvrir et s’offrir à elle, il faut vraiment qu’elle en profite. »
Vous n’avez pas pu participer à la parade de Vaimalama parce que vous étiez en tournée avec votre spectacle, Les Parisiennes, qui cartonne en ce moment. Vous êtes pour quelques jours ici, ensuite vous rentrez à Paris. Quels sont les projets professionnels qui vous attendent ?
« Je ne sais pas trop. C’est vrai qu’on a fait un bon break. Les Parisiennes était un très beau projet qui nous a pris toute cette année. On était en tournée dans toute la France et on a terminé par deux Olympia. C’était une très belle aventure. À la rentrée je ne sais pas, on risque de continuer quelques dates en Europe, je ferai peut-être une pièce de théâtre, je ne sais pas trop. Je profite de mes vacances et on verra ce qu’il se passera en 2019. »
« Je ne la connais pas. J’aurais l’occasion de la rencontrer j’imagine plusieurs fois à Paris puisqu’on va habiter pas très loin du coup. Mais elle est très Polynésienne, très détachée, très naturelle, très spontanée. Elle a l’air d’avoir la tête sur les épaules aussi et je pense qu’elle sera une très belle Miss France. »
On sait que devenir Miss France est une chance mais c’est aussi beaucoup de difficultés à traverser, surtout quand on est jeune et qu’on ne connaît pas bien la France. La presse people déballe au grand jour votre présumée vie privée. On peut rencontrer des personnes mal intentionnées… Quels conseils lui adresseriez-vous pour réussir son année de règne ?
« C’est vrai que c’est très particulier parce qu’elle bascule dans un monde où elle ne maîtrise plus son image, elle ne maîtrise plus ce qu’on va dire d’elle et c’est à double tranchant. Donc il faut toujours être méfiante et sur la défensive, mais sans perdre son naturel, son charme et sa spontanéité parce que c’est ce qui va faire, évidemment, une de ses qualités majeures. Elle est différente des autres, elle vient de Tahiti, elle a une mentalité qui n’est pas la même. Ça, c’est une force incroyable. Mais, elle est un personnage public maintenant, qui sera à la merci de toute la presse, de tous les commentaires sympas ou pas sympas, et ça, il faut faire attention, attention à ce qu’on dit, attention à ce qu’on fait. Je ne veux pas être méfiante et la jouer à l’ancienne en disant qu’il faut toujours se méfier, mais il faut toujours avoir un petit œil, parce que tout le monde n’est pas ami avec tout le monde. »
Vaimalama a beaucoup de points communs avec vous, elle est magnifique, elle est Polynésienne et elle chante aussi ! Vous pensez que, comme vous, elle pourrait percer dans la chanson ?
« Elle a des chances dans tous les milieux. Elle vient de commencer une carrière de personnalité publique et il faut que pendant cette année, elle se fasse un réseau. C’est la chose la plus importante. C’est-à-dire qu’un réseau, dans le domaine dans lequel elle veut aller, mais elle trouvera peut-être un autre domaine où elle s’épanouira plus. Si c’est dans la chanson, je lui souhaite évidemment et c’est le moment de prendre contact, c’est le moment de rencontrer les bonnes personnes. Il y a tellement de choses qui vont s’ouvrir et s’offrir à elle, il faut vraiment qu’elle en profite. »
Vous n’avez pas pu participer à la parade de Vaimalama parce que vous étiez en tournée avec votre spectacle, Les Parisiennes, qui cartonne en ce moment. Vous êtes pour quelques jours ici, ensuite vous rentrez à Paris. Quels sont les projets professionnels qui vous attendent ?
« Je ne sais pas trop. C’est vrai qu’on a fait un bon break. Les Parisiennes était un très beau projet qui nous a pris toute cette année. On était en tournée dans toute la France et on a terminé par deux Olympia. C’était une très belle aventure. À la rentrée je ne sais pas, on risque de continuer quelques dates en Europe, je ferai peut-être une pièce de théâtre, je ne sais pas trop. Je profite de mes vacances et on verra ce qu’il se passera en 2019. »
Tamara Sentis