Elle demandait dans l’une d’elles l’annulation de l’arrêté ayant accordé à sa rivale, la Fédération Polynésienne de rugby, ladite délégation. Elle avançait notamment que cette dernière avait été créée après le 31 décembre 2015, « date limite du dépôt des candidatures » et qu’elle ne pouvait en bénéficier car étant une « jeune fédération « .
Des arguments écartés par le tribunal administratif. Dans son jugement, celui-ci souligne que la Fédération polynésienne de rugby a « présenté un bilan de ses actions du premier semestre 2016 et justifié de l’organisation de deux compétitions« . Des données que n’a, en revanche, pas été en mesure de produire la Fédération tahitienne de rugby. Le tribunal administratif a donc rejeté ses demandes.