Depuis l’entrée en vigueur du nouveau code mondial antidopage – qui vise à harmoniser les politiques, règles et règlements antidopage des organisations sportives et des autorités publiques à travers le monde – le 1er janvier de cette année, la réglementation locale en la matière n’est plus valable.
À l’approche de l’épreuve de surf des JO 2024 qui doit se dérouler à Teahupoo, le sujet devient incontournable.
Pour mettre en conformité le droit local, la Polynésie sera accompagnée par l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), seule organisation antidopage reconnue par l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) sur le territoire français. L’Agence formera également les agents du Pays pour les contrôles anti-dopages.
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Cette collaboration doit faire l’objet d’une convention tripartite, entre la présidente de l’AFLD, le haut-commissaire de la République en Polynésie française et le président du Pays, qui acte le principe d’un soutien technique sur le plan réglementaire et la formation, et permettra d’entamer les travaux réglementaires en cette fin d’année.
Les autres sujets au compte-rendu du conseil des ministres
Délibération relative à l’exploitation des ressources vivantes de la mer territoriale.
Séminaire de travail sur un projet de réglementation relative à la valorisation des plantes aromatiques, médicinales et cosmétiques. Lutte contre les insectes xylophages du cocotier.
Projet de loi du Pays sur la protection de certaines espèces marines.
Règlementation relative à la qualité des graisses, huiles destinées à l’alimentation humaine
Modification de la composition du comité des usagers fiscaux.
Encouragement de la pratique d’activités physiques : une convention pour un taux réduit de TVA dans les salles de sport.
Projet de loi du Pays sur la règlementation énergétique des bâtiments.
Approbation du plan général d’aménagement (PGA) de la commune de Mahina.
Ouverture du 50ème salon des Marquises.
Le Pays prend des dispositions pour mieux préserver le Kaveu..
Subventions de fonctionnement en faveur d’associations sportives, de fédérations sportives, du COPF et de clubs bâtisseurs.
Projet « Te faufa’a o to oe ananahi ».