Accompagner, rassurer et sécuriser aussi bien les rameurs que l’organisation, c’est l’objectif que s’est fixé la gendarmerie tout au long de la course. La Hawaiki Nui s’est plus d’une centaine de va’a et plus du triple de bateaux suiveurs et spectateur qui rendent la course spectaculaire et difficile à la fois. « Aujourd’hui sur la deuxième étape, la problématique c’est qu’on a beaucoup de bateaux qui passent dans un endroit restreint. Et dans ces bateaux nous avons des poti, des bonitiers, des catamarans… Des catamarans qui mesurent entre 40 et 60 pieds. Tout ça dans un espace restreint : des fois la cohabitation est un peu compliquée parce qu’on a des manoeuvrabilités qui ne sont pas identiques et les bateaux passent très proches l’un de l’autre. Notre souci actuel ce sont ces catamarans qui sont au milieu des autres types de bateaux », détaille l’adjudant-Chef Florent Bauviet, de la brigade nautique de Papeete.
Avec des embarcations en nombre restreint, difficile pour la gendarmerie de baliser la totalité de la course. Lorsque qu’une infraction ou un incident est enregistré, tout le monde est mis à contribution : gendarmerie, organisation ou encore DPAM… À l’issue des 2 premières journées de compétitions, aucun incident et autre infraction n’est à noter.
Rédaction web avec Naea Bennett